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Affichage des articles du août 10, 2025

Comparaison sociale : le piège de la vingtaine qui nous fait douter

Hier soir, 22h30. Je scroll Instagram depuis 40 minutes. Une boule au ventre grandit à chaque story parfaite, chaque post lifestyle idéalisé. Cette fille en voyage à Bali, cette autre qui annonce sa promotion, cette jeune maman épanouie avec ses enfants parfaits... Et moi ? Moi, je suis dans mon lit, en chaussettes, à me demander ce que je fais de ma vie. Tu vois cette sensation quand tu déposes ton téléphone avec cette impression d'être passée à côté de tout ? Cette petite voix qui te murmure que tout le monde réussit mieux que toi ? Alors, on en parle vraiment de cette comparaison sociale qui nous bouffe de l'intérieur ? Parce qu'entre nous, c'est devenu notre poison quotidien. Aujourd'hui, je veux qu'on décortique ensemble cette spirale des réseaux sociaux toxiques qui transforme nos moments de détente en séances de torture mentale. Les r é seaux sociaux, de v éritables poisons  qui nous  bouffent de l'intérieur Les réseaux sociaux, dealers de dopam...

Cette phrase toxique qu'on balance à ceux qui craquent : “Tu n'as pas le droit de te plaindre”

Vous avez une famille, un toit, des études ? Alors fermez-la et encaissez en silence. Cette logique toxique qui hiérarchise la souffrance empoisonne des milliers de jeunes qui craquent dans l'indifférence générale.  Hier encore, je repensais à toutes les fois ou j’ai vu des mères balayer la dépression de leur fille d'un revers de main : “Arrête ton cinéma, tu as tout pour être heureuse contrairement à d'autres”. Cette phrase, je l'ai entendue des dizaines de fois. Dans ma famille, chez mes amis, sur les réseaux. Cette sentence qui tombe comme un couperet et qui vous cloue le bec instantanément. Alors, on en parle VRAIMENT ? De cette hiérarchisation toxique de la souffrance qui transforme vos cris de détresse en caprices d'enfant gâté ? De cette violence psychologique déguisée en leçon de morale qui vous achève quand vous êtes déjà au plus mal ? Cette fois, je veux qu’on s'intéresse vraiment à cette phrase qui détruit plus qu'elle ne construit. Parce que votr...